Décembre 1999 |
Voilà donc cette fin de siècle. Ce siècle, ce terrible siècle, nous le terminons « affolés de massacres et abasourdis d'inventions » écrivait J. Habermas cité par JC. Guillebaud.
Quant à nous, nous rendons hommage à sa deuxième moitié, car dans notre métier, elle nous a tout apporté. Nous avons commencé à oeuvrer dans la médiocrité et la désolation d'un réseau insuffisant, et nous l'avons terminé satisfaits, aux commandes d'un réseau moderne et complet, qui était le fruit de nos efforts. Nous voici comblés. Mais les autres ? Le journal Le Monde rappelait que plus des deux tiers de la population mondiale n'avait jamais encore utilisé un téléphone à la veille de l'an 2000.
Maintenant, c'est le triomphe du marché, de la concurrence, à quoi s'ajoutent des progrès techniques stupéfiants, le tout orchestré par les médias et la publicité. Bien. Et l'homme dans tout cela ? Il s'en tire comme il peut, peut-être pas si bien. Consommateur, il est prié de consommer toujours plus. Quel taux de croissance ? Les Grecs disaient autrefois « rien de trop ».
Renvoyé dans sa sphère privée, notre contemporain est souvent un isolé, car les grandes idéologies, les grandes appartenances comptent moins qu'auparavant. Et puis, le marché n'aime guère les gens heureux.
Alors, tout ce qui permet de se retrouver, de se regrouper, les associations vous dis-je, tout cela a de l'avenir ...
Dans notre métier, nos successeurs s'évertuent avec bonheur à offrir à tout un chacun virtualité, mobilité et bien d'autres choses. C'est la profusion. Quitte à recourir à des mots en « té », j'ajouterais bien solidarité, ou peut-être même amitié. Ces mots-là pourraient bien aussi être des clefs pour ouvrir la porte du siècle qui vient.
Et quant à ce siècle-là, souhaitons-nous les uns aux autres d'en connaître un bon bout. Et pour bien le commencer, j'adresse mes voeux de bonne et heureuse année 2000 à tous les membres du COLIDRE et à leurs familles.
Yves FARGETTE
«Nous nous installons dans chacun des pays européens. Nous sommes actuellement dans 12 des 15 pays de l'Union, donc on constitue les pièces d'un puzzle. Et puis, comme à la fin d'un puzzle, va apparaître tout d'un coup le dessin de ce que nous voulons être, c'est-à-dire un opérateur paneuropéen global.
-Il y a nécessité de trouver un partenaire américain afin de fournir des services télécoms aux Etats-Unis aux clients internationaux. Nous pouvons offrir ce type de service en recourant à la sous-traitance. Mais il y a plein d'opérateurs américains qui seraient très heureux d'avoir un tel contrat et qui seraient prêts à s'engager dans une guerre des prix pour l'obtenir. Nous n'avons pas besoin d'acheter un opérateur américain pour cela.
-France Télécom reste plus que jamais tourné vers les marchés étrangers. Cette année, l'opérateur français réalisera 13 à 14 % de son chiffre d'affaires à l'international. Notre ambition est de constituer un leader européen à vocation mondiale. L'Europe parce que c'est proche et parce que c'est la partie du monde où il y aura la plus forte croissance dans les années à venir.
Le mouvement de fusion actuel est un phénomène presque exclusivement américain en raison de la fragmentation de leur marché. C'est un problème que nous n'avons pas à France Télécom, puisque nous proposons la totalité des services sans aucune exception. Bref, nous ne sommes pas condamnés à une politique du pauvre, simplement la politique du riche, qui consisterait à acheter tous les plus gros du monde, ne présente aucun intérêt. Il est plus intéressant au contraire d'essayer d'investir un marché à partir de petites structures et de prendre des parts aux anciens monopoles.»
La Net Compagnie française«Avec 10 millions d'internautes attendus en France en l'an 2000, Internet devient un véritable marché de masse. Et avec l'explosion du commerce électronique, c'est un immense gisement de croissance qui s'ouvre devant nous. Un gisement dont bénéficieront l'ensemble des secteurs économiques mais aussi l'ensemble des pays.
Le train d'Internet est désormais sur les bons rails en France et France Télécom joue bien son rôle de locomotive. Etre la Net Compagnie Française signifie que non seulement nous devons proposer des solutions techniques innovantes, une offre commerciale adaptée mais plus encore, la responsabilité historique de France Télécom nous incite à personnifier l'entreprise dans laquelle les Français auront confiance. Celle qui garantira l'accès au Net au plus grand nombre ... C'est ce rôle que le grandpublic attend de nous. Mais il ne suffit pas de démocratiser Internet , il faut aussi l'humaniser. Notre vocation, c'est de donner de la valeur humaine à la technique. Comme nous disons à France Télécom, un monde qui communique plus et mieux a plus de chance de devenir meilleur.»
Les enjeux Internes«Le manager voit son rôle évoluer. Il n'est plus le seul détenteur de l'information, il n'est plus là uniquement pour transmettre les instructions et s'assurer de leur réalisation. Désormais, il est porteur de sens...L'innovation technique n'a de sens que si elle sert l'innovation sociale. Et là aussi c'est bien d'humanisation de la technique dont il s'agit.»
La concurrence«Ia concurrence devant les actionnaires ne fait qu'anticiper la concurrence devant les clients. Si les actionnaires nous poussent à être plus productifs, à avoir de meilleurs prix , c'est parce qu'ils savent que demain, si nous n'avons pas le meilleur rapport qualité prix, les clients ne nous choisiront pas. »
La négociation des 35 heures et la conduite du changement
Le Président Michel Bon devra-t-il recourir au référendum (il ne l'a jamais exprimé officiellement) pour concrétiser sa volonté d'un accord sur la réduction du temps de travail applicable à tous les personnels de l'entreprise au 1/1/2000 ? Certains observateurs le pensent en raison du contexte actuel à FT. Sachant, en effet que CDFT, FO, CGC et CFTC ne représentent que 40 % des salariés, que CGT et SUD n'ont jamais accepté de signé le moindre accord, certains experts estiment qu'un référendum permettrait à tous de sortir par le haut, le personnel pouvant ainsi adhérer globalement au projet de Michel Bon. Ce serait en tout cas une première !
En attendant, dans le cadre de la «conduite du changement», à FT, le management
s'est engagé sur les mesures suivantes :
- une note d'orientation adressée à l'ensemble des dirigeants rappelant les devoirs de l'information et de la concertation
- la convocation de la réunion de la première commission nationale de concertation
et de négociation (CNCN) ;
- l'ouverture des rencontres bilatérales avec les OS sur le thème de la mobilité ;
- la mise en place avec les OS d'un comité de Groupe pour permettre les échanges
sur la stratégie et les évolutions de l'entreprise.
Débat, , autour de la privatisation de France Télécom
Pour :
Gérard Longuet, UDF, ex-ministre des Postes et des Télé communications. « Oui, il serait logique que l'Etat prononce son désengagement. Bien sûr, l'entreprise a déjà fait évoluer sa culture et fonctionne comme une entreprise privée. Mais le secteur des télécommunications est en pleine effervescence en Europe, et France Télécom va devoir trouver un partenaire et nouer des opérations capitalistiques. Son statut reste un handicap : les partenaires éventuels sont toujours inquiets face à une entreprise de ce type. La privatisation permettrait d'é claircir les règles du jeu.»
contre :Christian Pierret, PS, Secrétaire d'Etat à l'Industrie. « Non. La loi prévoit que l'Etat doit rester majoritaire dans le capital de France Télé com. Il n'est pas question de la modifier sur ce point. Le Gouvernement avait annoncé en Septembre 1997, les conditions d'une ouverture en deux phases. Cette ouverture est aujourd'hui réalisée. Aucune opération nouvelle n'apparaît nécessaire. France Télécom a, en effet, la capacité d'assurer son développement international. Elle vient d'ailleurs de le prouver en Grande-Bretagne et en Allemagne.»(voir dernière heure in fine)
Toujours plus de régulation (s)L'Autorité de régulation des télécommunications a présenté à l'occasion de Telecom Genève, la synthèse de la consultation publique sur les réseaux de troisième génération (norme Universal Mobils Telecom Systems). Cette synthèse va permettre à l'arbitre des télécoms en France d'arrêter prochainement les conditions d'attribution de 4 nouvelles licences de téléphonie mobile.
L' ART est très réservée quant au mode d'attribution, basé sur l'enchère, comme le préconise M. Christian Pierret. Elle préférerait une solution qui intègre la soumission comparative. A suivre !
Conférence La conférence mondiale sur la réunion Internet s'est tenue du 30/11 au 1/12/99 à Paris et a réuni plus de 250 délégués.
Régulation multiple,Madame Isabelle Falque-Pierrotin,présidente de la mission interministérielle sur Internet, qui a inspiré le choix du Gouvernement a donné des indications sur la régulation à la française : " Personne ne sera exclu de la régulation. La création d'un organisme de concertation, annoncé par le Premier Ministre en Août dernier, est justifié par le constat qu'Internet est une réalité mouvante, difficile à appréhender et aux enjeux multiples. Il s'agira d'un lieu où se rassemblent les acteurs pour élaborer un corps de doctrines sur ce phénomène exceptionnel. Ce nouvel organisme ne va pas se substituer à ce qui existe (CSA, ART) mais faciliter le fonctionnement en réseau. "
NouveautéLe" webphone" : Taxé d'Arlésienne par les uns, mort-né pour les autres, le webphone fait son apparition dans la grande distribution avec Alcatel qui commercialise finalement son web Touch One sans le soutien pécuniaire de France Télécom, tandis que la société bordelaise Com One annonce le lancement l'année prochaine de son Atmax... Dans ce feuilleton chaotique à épisodes, nul ne sait quels autres rebondissements le webphone nous réserve pour l'avenir.
Cegetel condamnéFrance Télécom a annoncé dernièrement avoir fait condamner Cegetel à 2 millions de francs de dommages et intérêts pour publicité comparative" illicite et dénigrante ".
Téléphone par satellite.Désormais fonctionnel, le service Globalstar n'est plus aujourd'hui qu'à quelques semaines de son véritable lancement commercial. " Nous ouvrirons le service au tout début de 2000 en Europe et plus particulièrement en France " , déclare le président de Tesam (société commune entre France Télécom et Alcatel et actionnaire de Globastar).
Les avancées de BruxellesLa DG XIII souhaite, après avoir effectué un bilan de l'année écoulée, renforcer la libéralisation des télécommunications en Europe. Pour elle, " la libéralisation est effective. Le cadre européen est globalement transposé. Il y a plus de services, plus d'opérateurs et une réelle baisse des prix. Mais à bien des égards, on peut avoir des inquiétudes car des distorsions de concurrence persistent. " Dès le début de l'an 2000 de nouvelles recommandations seront publiées et porteront sur le dégroupage, l'évolution du prix des lignes louées et de l'interconnexion, le service universel et la protection des données et de la vie privée.
France Télécom fait l'ange...France Télécom a lancé, dans le cadre de sa filiale de capital-risque Innovacom, un réseau de "business angels " baptisé le Cercle des Business d'Innovacom, qui aura pour mission de parrainer de jeunes entreprises. Le réseau mis en place par France Télécom comprend 25 membres ayant tous une expérience dans la création d'entreprises dans les domaines des technologies de l'Information. Thao Lane, ancien chercheur du CNET et fondateur de la Société OST, présidera l'association. Le réseau interviendra dans tous les domaines des télécoms, de l'électronique à l'Internet. Innovacom dispose de 1,2 milliards de francs de fonds.
Jean-Claude Guédon (Historien des sciences -Université de Montréal) : « On dit que la valeur informatique égale le carré des ordinateurs en réseau. N'irait-on pas vers une valeur humaine égale au carré des humains en réseau ?"
Nicole Turbé-Suetens (Présidente de l'AFTT) : "La vraie richesse ne se mesure plus seulement en dollars, mais dans la capacité de chacun à vivre par soi-même "
Yves Lasfargue (Directeur du Centre d'études et de formation - CREFAC) : " La formation à distance ?Je n'y crois pas, car il faudrait changer le comportement des gens."
Jean-Pierre Le Goff (Sociologue, professeur au CNAM) : " Avec la remise en cause de l'appartenance de classe, se développent de nouvelles formes d'individualisme.
Notre troisième assemblée régionale de Marseille, après celle de Lyon et de Bordeaux, a connu un nouveau succès, si l'on se fie à l'importance de la participation (près de 130 présents le premier jour, 110 le lendemain pour l'escapade vers Aix en Provence et les sites cézanniens), le tout couronné par une météo favorable, grâce, diront les Marseillais, à la bienveillance de la « Bonne Mère » qui a su déjouer les prévisions qui s'annonçaient inquiétantes.
L'assemblée régionale a permis d'évoquer le programme de nos futures activités et de formuler quelques souhaits :Par ailleurs, Roland SAINT CRIQ esquissa quelques propositions de travail pour l'année 2000 qui seront reprises et développées dans le cadre des activités du Bureau. Ces propositions visent en particulier à mettre en valeur et à utiliser les grandes qualités d'analyse de nos adhérents et leur importante expérience antérieure de dirigeants, au profit d'une reflexion globale centrée sur la société de l'Information.
Gilbert Dennery a présenté l'ADSL.
La matinée se termina par une présentation de Paul SCHIETTECATTE, Directeur des Ressources Humaines et de Thierry BONHOMME, Directeur régional de Marseille, autour des questions posées par la gestion sociale dans l'entreprise. On aborda les problèmes occasionés par le traitement du coutumier et de la restauration, dont l'efficacité économique et sociale était de plus en plus contestable. La réduction de la durée du travail, avec la généralisation des 35 heures, imposée par la loi Aubry, était l'objet d'une négociation difficile, qui devrait déboucher cependant sur un accord d'ici à la fin de l'année.
Ainsi d'une manière générale, France Télécom, et les sondages internes le soulignent, se « trouve au milieu du gué ». Les personnels expriment à la fois une très grande confiance dans l'avenir de leur entreprise, car elle lui paraît capable de relever les défis, malgré les coups de boutoir de la concurrence, mais ils demeurent toujours interrogatifs sur leur propre avenir. «Mais les données du contrat social sont en train de changer », comme l'affirme Paul SCHIETTECATTE, avec de bonnes chances de succès. Cependant il faut pour cela :
Cette ambition nécessite un appui managérial fort, le développement du dialogue social au plus près du terrain, une entreprise qui sache afficher clairement ses valeurs dans laquelle les Français auront confiance : relever le défi de la concurrence, susciter le goût de la réussite, conserver en même temps le souci du service public.
Notre président Yves Fargette s'est félicité de la bonne tenue des travaux et a remercié chaleureusement P.Schiettecatte et T.Bonhomme pour leur participation et pour l'aide qu'ils ont apportée à l'organisation de cette assemblée.
Après cette matinée studieuse, les participants s'engageaient dans la partie ludique du programme de cette assemblée régionale. Ce fut d'abord l'excursion-promenade en car par la route des crêtes jusqu'à Bandol, en passant par Cassis, les calanques, les vignobles varois, la cité médiévale du Castellet et pour finir une rapide traversée jusqu'à l'île de Bandor pour un dîner de gala au restaurant « Le Parc », sur la corniche en bordure de mer.
Le lendemain, nous étions plus d'une centaine à participer à une escapade dans le pays de Cézanne à Aix en Provence et ses environs.
Ce fut un plaisir partagé, qui devrait se renouveler l'année prochaine, au début de l'automne, pour partir à la rencontre d'une autre capitale régionale, probablement Lille et ses environs.
Là où les ingénieurs et les techniciens voient avant tout la succession des progrès techniques : nouveaux dispositifs, matériaux et composants aux propriétés améliorées, autorisant des gains de performances et de coût ou permettant de remplir des fonctions nouvelles, les historiens observent surtout les comportements sociaux des divers acteurs, les jeux de pouvoir qu'ils développent, etc. Là où les premiers analysent en détail les raisons qui ont permis une rupture technique essentielle, les seconds s'arrêtent sur les conditions sociales qui ont freiné ou accéléré les innovations associées à ces ruptures. Les uns et les autres ont raison de s'investir dans ce qu'ils connaissent le mieux, dans les domaines auxquels ils sont le mieux préparés. Mais ils ont tort lorsque, poussant trop loin leur spécialisation professionnelle, ils en arrivent à ne pas voir que l'histoire qu'ils cherchent à restituer est une réalité dont les deux faces, comme celles d'un même parchemin, ne sont pas dissociables.
Prenons par exemple le cas fréquent de développements techniques qui n'ont débouché sur des applications et donc sur une innovation qu'avec un très grand retard. L'explication réside en général dans l'existence d'un fort syndrome "NIH" au sein de l'entreprise où le progrès technique avait vu initialement le jour! N.I.H = "Not Invented Here"; c'est un système de blocage des innovations redoutablement efficace et dont l'explication qui n'a rien de technique, relève de la sociologie de l'entreprise. A l'inverse nous connaissons tous certaines approches historiques qui, sous-estimant les facteurs techniques, s'écartent de la réalité et manquent leur but.
Tout milite en faveur du rapprochement entre ces deux mondes, celui des scientifiques, ingénieurs, techniciens et celui des historiens. Il me semble que le COLIDRE, par son action en faveur de la conservation des archives et du recueil des témoignages, peut, en développant vigoureusement ses activités, contribuer, au moins dans son champ d'action, à un rapprochement fécond.
Maurice BernardDu 24 Septembre au 1er Octobre, quelques-uns de nos amis ont fait le voyage à New York que Jean Le Mézec avait préparé de longue date avec soin. Si on lit dans le détail le compte-rendu, que Pierre Martrenchar a judicieusement intégré sur notre site Internet, on retiendra d'abord la très bonne organisation. Excellents vols dans les deux sens, très bons hôtels, tables variées, visites nombreuses et de qualité
Au programme, le tour de l'Ile de Manhattan au cours duquel P. Martrenchar remarque avec ironie le commentaire entraînant d'un " amiral " de service, soucieux de créer l'ambiance. Visite du Métropolitan Museum of Arts au cours de laquelle nos amis ont pu bénéficier de l'érudition du couple Le Mézec. Visite guidée de Harlem avec, entre autres, la possibilité d'assister à un office religieux sur fond de gospels. Ballade aux " cloisters " dont l'essentiel des bâtiments provient de différents cloîtres européens. Déplacements sur Ellis Island, site qui héberge le musée de l'immigration qui a joué un rôle prépondérant dans l'histoire des USA. Découverte du musée des arts indiens, visite de Lyndhurst, demeure de 18ème siècle au style néogothique, de Tarrytown maison construite par D. Rockefeller en 1906 et qui abrite énormément d'oeuvres d'art...
Malgré ce programme extrêmement chargé, le groupe s'est également obligé à une très sérieuse fréquentation des bonnes tables new yorkaises (si, si, ça existe!) parmi lesquelles on peut citer l'Allégria, l'Authentic Parisian Bistro ou encore le Cotton Club ... A mentionner également la très studieuse visite de l'antenne de France Télécom à New york où nos amis ont reçu un accueil chaleureux et pu mesurer le travail réalisé par nos ressortissants.
Dernière heure : France Télécom a perdu "sa bataille d'Allemagne". En effet, E-Plus a été acheté par le Néerlandais KPN (en doublant la mise) qui prive ainsi l'opérateur français de ses perspectives d'implantation outre-Rhin. Trois jours plus tard, l'action FT perdait plus de 14% pour reprendre sa progression quelques jours plus tard.
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